Voici donc une variation autour du cresson. Peu connu et peu cuisiné, il n’est pas si facile d’en trouver, même au marché ! Mais sachez que c’est la pleine saison et qu’il existe plein de façons de l’agrémenter. En soupe bien sûr, en tarte et autres quiches, en salade et en décoration. J’ai eu envieLire la suite
À la coriandre, au thym, au romarin ou à ce que l’on veut, pourvu que ça fasse du bien ! Je remarque subitement que la courgette était déjà au menu en septembre dernier… C’est une recette que je fais depuis des années et qui a souvent ponctué mes vacances d’été majorquines. Là-bas les courgettes sont claires et ontLire la suite
Voici donc la recette qui fait le lien entre deux endroits chers à mon coeur. La pâte est très facile à faire, c’est une sorte de pâte à crêpe épaisse, souple et élastique. Ce qui est un peu plus technique c’est la « découpe » et la cuisson. J’ai la chance de m’être fait prêter un ustensileLire la suite
Voici donc le résultat de mes tribulations autour du pois-chiche et mes rêveries marocaines. Une adaptation totalement intuitive, mais sans grande surprise ni difficultés. J’ai choisi de n’utiliser que des légumes de saison, sans courgettes ni poivrons. Je ne l’ai pas fait ici, mais j’aurais pu intégrer du potiron, ou du potimarron. Et si celaLire la suite
Saveur orientale donc, pour cette salade hautement nutritive et protéinée, qui va recolorer nos grises journées d’hiver et nous apporter de nouvelles perspectives. Nous pouvons passer les vacances de Noël ou de février au soleil pour y trouver la lumière qui nous manque tant chez nous, mais ce n’est pas toujours chose faisable, alors pourquoiLire la suite
Voici une première digression sur le pois chiche. Le Houmous, ami merveilleux de tous les apéros, en tartine améliorée, sempiternel allié des déjeuners végés et autres super-bowls, ou simplement pour y tremper vos carottes. La recette est assez simple et rapide. J’ai eu envie cette fois-ci d’y ajouter un peu de citron confit, en pensantLire la suite
L’Inde est pour moi le royaume des épices par excellence, et de la cuisine de rue, pour laquelle j’ai un faible particulier. Parce qu’elle incarne la simplicité, la surprise et la découverte, la générosité, le partage, la précarité détrônée par une certaine abolition des barrières sociales, les maisons sans portes et les cuisines ouvertes, l’accessibilité, la nécessité aussi…etLire la suite